Nouvelle.L'amant.

C'est un essai,ne vous moquez pas^^.Comme c'est long comme texte et que je suis flemmard,je fais le truc en plusieurs fois.je suis ouvert à vos commentaires,j'ais fait ça vite fait,je me doute que de nombreuses imperfections stylistiques trainent ça et la.



Roberta leva le menton et tendit le cou pour regarder au-delà du bord du gouffr,non loin devant elle,et apercevoir les terres fertiles de sa chére vallée de Nareef,qui s'étendait des centaines de pieds plus bas.Au milieu des champs d'un vert soutenu où paissaient des bonvins qui lui semblaient à peine plus grands que des fourmis,des taches brunes signalaient les parcells récemment labourées.Les nouvelles pousses,elles,formaient des carrés d'un vert beaucoup plus vif et à a beauté saisissante.La riviére Dammar serpentait à travers ce magnifique paysage,et ses eaux scintillantesbordées des deux côtés par de grands arbres qui,de loin,semblaient être des spectateurs venus admirer le courant.
Chaque fois qu'elle s'aventurait dans les bois,près de la falaise des Nids,Roberta s'arrangeait pour jeter au moins un coup d'oeil à la vallée.Aprés s'être offert le plaisir d'admirer ctte vue vertiigineuse,elle baissait toujours les yeux sur le sol de la forêt,couvert d'un lit de feuilles et de mousse,pour empêcher sa tête de tourner.
elle rajusta le sac accroché à son épaule et se remit en route.alors qu'elle se faufilait entre les buissons de myrtilles et d'aubépines,marchant sur des pierre plates qui ressemblaient à des îlots de stabilité perdus au milieu d'un océan de trous et de crevasses,ou se baissait pour éviter les branches basses des pis et des aulnes,elle écartait du bout de son bâton de marche les fougéres et les basamines qui se dressaient sur son chemin.
Son regard ne cessait de sonder les environs,éternellement à l'affut.
Remarquant une tache jaune ronde,elle sebaissa et constata avec ravissement qu'il s'agissait d'une chanterelle,et pas d'un "feu follet" vénéneux.Beaucoup de gens raffolaient des chanterelles à cause de leur délcieux gouts de noisette.Elle cueillit délicatement le champignon,et, avant de la glisser dans son sac,caressa l'intérieur du chapeau,doux comme de la soie.
La montagne qu'elle sillonait en quête de champigons était trés petit,comparée à celles qui se dressaient tout autour.En réalitée,c'était plutôt une colline traversée par des pistes créées par l'hommes -trés rarement- et par une multitude d'animaux.Le genre deterrain assez facile que ses vieux muscles,de plus en plus dououreux,appréciant au plus haut point.

pas mal le début.
Un peu trop de passage descriptif mais j'aime bien le reste.